LE VIVARAIS
Éditions Arthaud à Grenoble et Paris
Collection « Les beaux pays »
François et Marthe Thomas
Année 1947 – 200 pages – format 17x22 – ouvrage illustré de 158 héliogravures – 1 carte en noir
Belle demi-reliure – dos à 2 pièces de titre – pages de garde marbrées couleurs –tranchefile – signet
La couverture d’origine a été conservée (couverture couleurs illustrée par E. Boullière)
Thèmes : régionalisme ; géographie ; Occitanie
État : bon état ; propre et solide
Au sommaire
► Présentation du Vivarais
► La vallée du Rhône
► Le Bas-Vivarais : de Viviers à Aubenas ; La basse vallée de l’Ardèche ; Grottes et Avens : Saint-Marcel et Orgnac ; Du Chassezac au Rhône ; Le Coiron
► Les Serres : La Cévennes vivaroise ; Au pays des volcans ; Les Boutières ; Le Haut-Vivarais
► Le Haut-Plateau
Repères géographiques
Le Vivarais (Vivarés en occitan) est une région historique du sud-est de la France. D'abord principauté du Saint-Empire, elle devient, avec son rattachement à la couronne de France au Moyen Âge, une province appartenant au Comté de Provence puis à la province de Languedoc jusqu'en 1789. Sa capitale était Viviers, ville qui lui adonné son nom. La province a disparu pendant la Révolution française, et elle correspond aujourd'hui approximativement au département de l'Ardèche.
D’AUTRES TITRES DANS LA MÊME COLLECTION ET DANS LA MÊME RELIURE SONT DISPONIBLES ET SERONT PROPOSÉS SUR LE SITE
► Le Vivarais ; François et Marthe Thomas ; couverture de E. Bouillière
► Le Poitou, Vendée – Deux-Sèvres – Vienne ; 2 tomes ; Jaqueline Jacoupy ; couverture de Louis Garin
► Le Berry ; Jacques des Gachons
► Le Béarn, pays basque et côte d’argent ; François Duhourceau ; couverture de Paul-Émile Lecomte
► En Normandie de la Dives au Mont-Saint-Michel ; René Herval ; couverture de Louis Garin
► Grenoble et ses montagnes ; Jean-Jacques Chevallier ; couverture de Samivel
► Au fort de l’Auvergne (Combraille ; Monts Dore ; Artense ; Cézalier) ; Henri Pourrat ; couverture de Angeli
Sur les éditions Arthaud
• Arthaud est une maison d'édition d'origine grenobloise, et aujourd'hui parisienne, qui fait partie du groupe Flammarion.
• Vers 1870, Jules Rey, libraire de Grenoble, commence à publier des livres sur la montagne. Propriétaire d'une librairie à Grenoble, il fonde une maison d'édition en 1882. En 1922, elle est la première en France à s’équiper d’une machine d'héliogravure, et, en 1923, à utiliser l'héliochromie.
• Benjamin Arthaud en devient propriétaire en 1924 en rachetant les parts de son beau-frère Alexandre Rey, fils du fondateur. En 1930, il installe un bureau des éditions Arthaud à Paris, 6 rue de Mézières dans le VIème arrondissement. À cette époque, les éditions publient diverses collections consacrées à l'histoire et à la géographie (paysages, sites, monuments…).
• Les éditions Arthaud (successeurs des Éditions Jean Rey à Grenoble) se sont spécialisées à partir des années 1930 dans l’édition de livres sur le thème du régionalisme. Plusieurs collections ont vu le jour dont celle « les beaux pays ».
C’est l’occasion de parcourir la France et les pays étrangers au travers de textes très soignés et de découvrir d’anciennes photographies de lieux qui ont depuis bien changés.
• En 1949, il lance la célèbre collection de livres de montagne et de récits d’aventure « Sempervivum », dirigée par Félix Germain, avec notamment le best-seller Annapurna, premier 8000 de Maurice Herzog.
• Dans les années 1960, la deuxième génération Arthaud prend les commandes de la maison. Claude Arthaud oriente davantage les éditions vers les grands livres d’art. Jacques Arthaud crée avec succès la collection « Mer», inaugurée par Éric Tabarly. Des collections encyclopédiques sont lancées, telles que « Les grandes civilisations », « L’histoire des sociétés contemporaines », « Littérature française » ou « Signes des temps ».
• En 1977, Jacques Arthaud cède la maison à Flammarion.
• En 1987, les premiers Guides Arthaud voient le jour.
• En 2003, la marque Arthaud se réoriente vers les domaines de l’aventure et de l’exploration.