TITRE : L’art religieux de la fin du moyen-âge en France
AUTEUR(S) : Émile Mâle, membre de l’Institut, Directeur de l’École française de Rome, Professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Paris, Chargé de cours à la Faculté des lettres de l’Université de Paris
ÉDITEUR : Éditions Librairie Armand Colin
ANNÉE : 1908
FORMAT : 22 cm x 27 cm
NOMBRE DE TOMES : 1
NOMBRE DE PAGES : XII + 558
ILLUSTRATIONS : oui, en noir, 250 gravures
RELIURE demi-reliure, dos à 4 nerfs, plats toilés couleur, pages de garde marbrées couleurs assortis aux plats, tranchefile
JAQUETTE : non
SIGNET : non
RHODOÏD : non
ÉTAT : bel état, la couverture d’origine ont été conservée, très propre et solide, tampon nominatif sur la couverture originelle, papier bien blanc
THÈMES : architecture, religion, moyen-âge, iconographie, arts
L’ART RELIGIEUX DE LA FIN DU MOYEN-ÂGE EN FRANCE
Étude sur l’iconographie du moyen-âge et sur les sources d’inspiration.
On retrouvera au sommaire
1 – naissance d’une iconographie nouvelle ; l’art et le théâtre religieux
2 – l’art religieux traduit des sentiments nouveaux – le pathétique
3 – l’art religieux traduit des sentiments nouveaux – la tendresse humaine
4 – l’art religieux traduit des sentiments nouveaux – les aspects nouveaux du culte des saints
5 – l’ancien et le nouveau symbolisme
6 – l’art et la destinée humaine
● la vie humaine, le vice et la vertu
● la mort
● le tombeau
● la fin du monde, le jugement dernier, les peines et les récompenses
● comment l’art du moyen-âge a fini
SUR L’AUTEUR
Émile Mâle, né le 2 juin 1862 à Commentry (Allier) et mort le 6 octobre 1954 à Fontaine-Chaalis (Oise) est un historien d'art français, membre de l'Académie française.
Émile Mâle fut un spécialiste de l’art chrétien médiéval et a laissé une œuvre importante, qui compte de nombreuses monographies sur les églises et cathédrales de France (La Cathédrale de Reims, Notre-Dame de Chartres, La Cathédrale d’Albi).
Fils de Gilbert Mâle, ingénieur des mines de l'école d'Alès, Émile Mâle effectue sa scolarité secondaire à Saint-Étienne, puis entre à l’École normale supérieure en 1883. En 1886, il obtient l’agrégation de lettres. C'est cette même année, lors d'un voyage en Italie où il découvre la Chapelle des Espagnols à Santa Maria Novella à Florence, qu'il décide de ne pas s'orienter vers un cursus d'études classiques et choisit l'histoire de l'art médiéval. Il est nommé professeur en classe de rhétorique à Saint-Étienne, puis professeur à Toulouse.
En 1899, il soutient sa thèse sur « L’Art religieux au XIIIe siècle en France » puis est chargé d'un cours d'histoire de l'art chrétien à partir de 1906 à la Sorbonne, où la chaire d’histoire de l’art lui est attribuée en 1912. Il est élu membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres en 1918. En 1923, il succède à Mgr Duchesne comme directeur de l’École française de Rome et consacre une partie de ses recherches aux édifices de la Rome chrétienne (Rome et ses vieilles églises). En 1927, il est élu membre de l’Académie française avant de prendre sa retraite en 1937.
Il est mort le 6 octobre 1954 et est enterré au cimetière de Commentry.