TITRE : Les chemins de l’abstraction
AUTEUR(S) : Pierre Cabanne ; Marc Restellini
ÉDITEUR : Pinacothèque de Paris – Gourcuff Gradenigo
ANNÉE : 2013
FORMAT : 24 cm x 28 cm
NOMBREDE TOMES : 1
NOMBREDE PAGES : 149
ILLUSTRATIONS : oui, majoritairement couleurs
RELIURE : cartonnée illustrée, pages de garde couleur, tranchefile
JAQUETTE : non
SIGNET : non
RHODOÏD : non
ÉTAT : bel état, propre et solide. Les traces blanches sur les photographies sont dues au reflet de lumière lors de la prise de vue
PARTICULARITÉS : peu courant ; recherché
THÈMES : arts, expositions, peinture, catalogue, art contemporain
Catalogue de l'exposition qui s’est tenue du 11 octobre 2013 au 16 avril 2014 à la Pinacothèque de Paris (65 œuvres présentées).
1 – La transition :du figuratif à l’abstraction
2 – L’influence de la peinture traditionnelle chinois
3 – La puissance des paysages
4 – L’ombre et la lumière
À l’instar de nombreux artistes asiatiques, la nature sert de point de départ aux peintures de Chu Teh-Chun. Qu’il s’agisse des montagnes ou des saisons, les couleurs reconstituent les formes du paysage et permettent des variations sur la lumière.
Mais cet art abstrait, aussi contemporain soit-il, emprunte également à la tradition et à la calligraphie comme pour nous rappeler que Chu Teh-Chun n’a pas toujours été un peintre dans la lignée de Kandinsky ou de Poliakoff. Avant son arrivée en France dans les années 1950, les œuvres sont encore très figuratives et le temps n’est pas si loin où sa famille collectionne les calligraphies. Mais progressivement, ses tableaux deviennent de plus en plus abstraits, tantôt riches en couleur à la manière d’un Maurice Estève, tantôt plus épurés ou autour d’une déclinaison d’une même couleur.
Chu Teh-Chun né le 24octobre 1920 à Baitou Zhen dans le Xian de Xiao, municipalité de Suzhou, province de l'Anhui, en Chine, et mort à Paris le 26 mars 2014, est un peintre contemporain, installé en France depuis 1955. Peintre de la même génération que Zao Wou Ki, maître de l'abstraction lyrique, ce mouvement pictural laissant libre l'inspiration spontanée, il a tracé son sillon personnel dans le paysagisme abstrait. Il était membre de l'Institut (Académie des beaux-arts) depuis 1997.