JÉRÔME BOSCH
Tout l’œuvre peint et dessiné
Par Roger H. Marijnissen avec la collaboration de Peter Ruyffelaere
Année 1987 – Éditions Albin Michel – Fonds Mercator
Demi-reliure toilé – format 25x33 – 513 pages – pages de garde couleur – tranchefile – riche et abondante iconographie en noir et en couleurs (in et hors-texte)
Thèmes : arts, peinture flamande, monographie, moyen âge ; religion ; arts décoratifs ; Pays-Bas
État : bon état, dos insolé et légèrement saveté, propre et solide
Particularités : lourd et volumineux (près de 4kg hors emballage)
On retrouvera au sommaire simplifié
• Sources écrites
• Catalogue
• Formation et sources
• L’interprétation de l’œuvre depuis le 16ème siècle
• Essai d’interprétation
► Les triptyques
• Le chariot de foin – le jardin des délices – la tentation de saint Antoine – le retable des ermites – le jugement dernier – le triptyque Bronchorst-Bosschuyse – le triptyque de la martyre crucifiée
► Fragments de triptyques
• Le portement de croix (Vienne) – le portement de Croix(Madrid) – Saint Jean à Patmos – le déluge – les bienheureux et les damnés – la nef des fous – la mort d’un avare
► Panneaux indépendants
• Les sept péchés capitaux et les quatre fins dernières – le calvaire avec donateur – le couronnement d’épines (Londres) – le couronnement d’épines (Escurial) – Ecce homo avec donateur – le portement de croix – Saint Jérôme – Saint Jean-Baptiste – Saint Christophe – le prétendu fils prodigue
► Attributions contestées
• Les noces de Cana – la nativité – Saint Antoine – l’excision de la pierre de folie – l’escamoteur – le jugement dernier (Munich)
► Les dessins
► Le symbolisme boschien
Repères
Jheronimus van Aken, dit Jérôme Bosch, ou Jheronimus Bosch, né vers 1450 à Bois-le-Duc et mort en août 1516 dans la même ville, est un peintre des Pays-Bas bourguignons, rattaché au mouvement des primitifs flamands.
Membre de l'Illustre Confrérie de Notre-Dame, il fait partie en tant qu'artiste du fleuron de l'art gothique finissant fantastique et se rapproche culturellement de l'humanisme de
la Renaissance, de la pensée d'Érasme et de Thomas More. Le Jardin des délices serait d'ailleurs, comme l’Utopia de More, une vision de ce que le monde pourrait être, s'il n'avait été corrompu par le mal.