TITRE : L’art de l’Europe Centrale
AUTEUR(S) : Markéta Theinhardt ; Pierre Brullé ; Sergiusz Michalski
ÉDITEUR : Citadelles et Mazenod
COLLECTION : L’art et les grandes civilisations ; 38ème titre de la collection
ANNÉE : 2008
FORMAT : 24 cm x 31cm
NOMBRE DE TOMES : 1
NOMBRE DE PAGES : 605
ILLUSTRATIONS : oui, riche et abondante iconographie couleurs in et hors-texte
RELIURE : pleine toile éditeur, pages de garde de couleur jaune-orangée, tranchefile
JAQUETTE : oui, illustrée couleurs
SIGNET : non
RHODOÏD : non
ÉTAT : neuf sous cellophane
THÈMES : arts
Les définitions de l’Europe centrale sont aussi nombreuses que leurs motivations : géographiques, géopolitiques, culturelles... La présente publication a opté pour un territoire embrassant le noyau historique de l’ancienne monarchie des Habsbourg, territoire qui témoigne d’une grande cohérence culturelle, fort complexe au demeurant. Vienne, Budapest (Buda), Prague, Cracovie ou bien Bratislava (Presbourg) sont les capitales culturelles le plus souvent citées entant que foyers d’art pour une période allant du roman jusqu’au surréalisme avant la Seconde Guerre mondiale.
Du point de vue de l’histoire de l’art, ce territoire s’avère à la fois le lieu de naissance d’expressions originales mais aussi le réceptacle d’inspirations extérieures. Afin de saisir, pour la première fois dans son ensemble, l’histoire millénaire de l’art né sur ce sol historique instable, il a fallu adopter une grande flexibilité et notamment aller au-delà de la notion traditionnelle d’«écoles nationales ». Les phénomènes culturels et artistiques les plus connus, tels le gothique à Prague 1400, l’art rodolphinien 1600 ou bien Vienne 1900 avec Gustav Klimt comme figure de proue, sont présentés dans leur singularité, mais en même temps enrichi de leur contexte centre-européen.
Une grande attention est portée au contexte international et à la façon très différenciée de la réception des styles et des idées artistiques, comme par exemple celle de la Renaissance italienne ou du modèle de l’art français du XIXe siècle, sans parler des différents foyers de l’art allemand qui y forment un contexte géographique et culturel essentiel.