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Lettres d’Ingres à Marcotte d’Argenteuil Daniel Ternois correspondances mécénat arts peinture

(Code: CORRESPONDANCEINGRESMARCOTTEARGENTEUIL)
35,00 EUR
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Lettres d’Ingres à Marcotte d’Argenteuil Daniel Ternois correspondances mécénat arts peinture

LETTRES D’INGRES À MARCOTTE D’ARGENTEUIL

 

Présentées et annotées par Daniel Ternois

 

Année 1999

Librairie des Arts et Métiers – Éditions Jacques Laget

Société de l’histoirede l’art français – Archives de l’art français – nouvelle période – tome 35

Ouvrage publié avec le concours de la Fondation Custodia

 

Broché –format 22x27 – 266 pages – texte sur 2 colonnes – sans illustrations

 

Thèmes : arts, correspondance, échanges épistolaires, mécénat, peinture

État : bon état, propre et solide

 

Charles Marie Jean Baptiste Marcotte dit Charles Marcotte d'Argenteuil, né à Doullens en 1773 et mort à Paris en 1864, est un des grands mécènes artistiques du XIXe siècle.

 

Jean-Auguste-Dominique Ingres, né le 29 août 1780 à Montauban et mort le 14 janvier 1867 à Paris, est un peintre français également excellent musicien — il fut second violon auprès de l'Orchestre de Toulouse — ce qui l'amena à se lier d'amitié avec les plus grands violonistes de son temps, Niccolo Paganini et Pierre Baillot.

 

Après un premier apprentissage à Montauban, sa ville natale, il devient à Paris élève de Jacques-Louis David. Lauréat en 1801 du Grand prix de Rome en peinture, il se rend en Italie en 1806 et y reste jusqu'en 1824. À son retour à Paris, il connaît une reconnaissance officielle, apparaissant comme le champion de la doctrine du beau et de la primauté du dessin sur la couleur, en opposition successive aux courants romantiques et réalistes. Nommé directeur de l'Académie de France à Rome, il y retourne de 1835 à 1842.

 

Ingres a d'abord et à plusieurs étapes de sa carrière vécu de ses portraits, peints ou dessinés. Réputé peu sociable, il fut souvent mal traité par la critique. Les tenants d'un style plus libre et d'une exécution plus rapide condamnaient sa manière tout comme les académiques, qui lui reprochaient notamment les déformations expressives qu'il faisait subir aux corps dans ses nus.