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Victor Hugo L’année terrible poésie guerre 1870 Commune de Paris Jean de Bonnot

(Code: HUGOANNEETERRIBLEBONNOT)
18,00 EUR
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Victor Hugo L’année terrible poésie guerre 1870 Commune de Paris Jean de Bonnot

TITRE : L’année terrible

AUTEUR(S) : Victor Hugo

ÉDITEUR : Éditions d’Art Jean de Bonnot

COLLECTION : L’œuvre complète de Victor Hugo

ANNÉE : 1978

FORMAT : 14 cm x 20 cm

NOMBRE DE TOMES : 1

NOMBRE DE PAGES : 418 suivies des souvenirs personnels de Victor Hugo 1848-1851 suite (de la page 249 à 344)

ILLUSTRATIONS : oui, illustrations en noir de l’époque de l’auteur, en frontispice, en bandeaux

RELIURE : superbe reliure éditeur plein cuir de couleur rouge avec motifs à froid sur les plats, dos lisse avec fausse pièce de titre (portrait de l’auteur) et auteur tomaison et titre en caractères dorés, tranche supérieure dorée, tranchefile, pages de garde illustrées couleurs

JAQUETTE : non

SIGNET : oui de couleur rouge

RHODOÏD : non

PARTICULARITÉS : ex-libris

ÉTAT : bon état, ouvrage bien solide pouvant être manipulé sans crainte

THÈMES : littérature française, collection littéraire, mémoires, souvenirs, poésie, guerre 1870, Commune de Paris

 

 

SUR LE LIVRE

 

Il s’agit du tome 26 de la collection.

 

L'Année terrible est un recueil de poèmes de Victor Hugo publié en 1872. Il retrace l'année 1870-1871, durant laquelle la France voit, à la suite de la défaite de la France lors de la guerre contre la Prusse, le soulèvement de la classe ouvrière à Paris.

 

Il s'agit d'un recueil de 97 poèmes dont un prologue (Les 7 500 000 oui) et un épilogue (Dans l'ombre).

 

Cette œuvre poétique relate les événements liés à la guerre entre la France et la Prusse, conflit qui opposa le Royaume de Prusse et les états coalisés allemands contre la France s'étant déroulé entre le 19 juillet 1870 et le 28 janvier1871, puis les événements liés au soulèvement du 18 mars 1871 et à la Commune insurrectionnelle de Paris.

 

Certains poèmes évoquent également le deuil subi par Victor Hugo avec la mort de son fils, Charles, dont les funérailles organisées entre la gare d'Orléans au cimetière du Père-Lachaise, se déroulèrent le premier jour du soulèvement du peuple parisien. Par respect pour Victor Hugo, les insurgés ouvrent les barricades pour laisser passer le convoi. Le poète n'oubliera pas ce geste, malgré ses divergences avec la Commune

 

Parti en exil en Belgique puis dans le Luxembourg, Victor Hugo y séjourne quelques mois pour y écrire ce recueil de poèmes avant de rentrer en France. Dans l'un de ses poèmes intitulé, À ceux qu'on foule aux pieds, il plaide pour l'amnistie des communards condamnés et n'hésite pas à décrire la misère et l'injustice liée à la situation économique et politique de cette fin de règne.